Des photographes, des festivals, de la lecture à voir, un capteur “traditionnel” en quelque sorte.

Mais !? Mais serait-ce le retour du quiz ciné photo ?
Et non, juste un clin d’œil et un hommage à l’actrice américaine Pam Grier, ici dans Friday Foster (1975) d’Arthur Marks, extrait d’un récent Blow Up d’Arte. Pam Grier dont on se souvient évidemment dans Jackie Brown (1997) de Tarentino.
Connaissais-tu Chris Killip ?

Killip était un photographe anglais, Manx pour être précis, réputé pour avoir documenté la vie de la classe ouvrière dans le nord-est de l’Angleterre post-industrielle, les communautés marginalisées et les modes de vie en voie de disparition.
Il reste encore quelques jours jusqu’au 6 mai pour voir une exposition Chris Killip: An anthology à la galerie Magnum Photos de Paris…
Autre photographe, d’une toute autre contrée puisque japonais celui-là, Domon Ken dont on peut aussi admirer les œuvres à la Maison de la culture du Japon de Paris jusqu’au 13 juillet.

On continue ce tour du monde ?
Photographe Sud-Africain, Ernest Cole a photographié les différentes communautés de son pays dans les années 60.
Lorsque je dis que des personnes peuvent être licenciées, arrêtées, maltraitées, fouettées ou bannies pour des broutilles, je ne décris pas un cas exceptionnel pour le plaisir d’être incendiaire. Ce que je dis est vrai – et la plupart des Sud-Africains blancs le reconnaîtraient volontiers. Ils ne prétendent pas que ces choses ne se produisent pas. La cruauté essentielle de la situation ne réside pas dans le fait que tous les Noirs sont vertueux et tous les Blancs méchants, mais dans le fait que les Blancs sont conditionnés pour ne rien voir de mal dans les injustices qu’ils imposent à leurs voisins noirs.

La saison des festivals estivaux va bientôt commencer, peut-être par Sète avec le 15e rendez-vous de la photographie documentaire, imageSingulières du 18 mai au 11 juin ?
En juin de l’année dernière, je parlais d’un nouveau festival photo à Lourmarin dans le Vaucluse : Réflexivité(s).
OK, c’est pas la porte à côté, mais une fois à Arles… 🙂
Programmation fournie du 16 juin au 30 juillet, ambiance provençale (avé les cigales…), 4 conférences, 1 séance dédicace, 1 workshop photo et 1 concours de pétanque !
On finit avec le dernier OPENEYE, très fourni et varié comme toujours.