Capteur palindromique avec quelques nouvelles photos. Étonnant non ? Et aussi une expo à voir sur Toulouse sans tarder, un peu de télé en Chine (oui encore) et le quiz…

Ξ Les villes sont souvent une source d’inspiration, un matériau pour les photographes, surtout celles et ceux qui font de la photo de rue, bien sûr.
Après ma série “Décadrage” l’an dernier, dont l’idée était de faire un gros patchwork de photos de vélos démantelés, la série “Do you feel (more) secure?“, qui date de 2017 et que je dirais… toujours en chantier (même si j’ai pas mal de matière, en fait), voici donc le début de ma série “Toulouse ma ville“, j’en parlais déjà il y a plus de 3 ans.
On va me dire “oui alors manu’ on dirait que la déchéance, la décrépitude semblent exercer un attrait chez toi, c’est quoi ce penchant alors qu’il y a tant de belles choses à photographier, y compris dans les villes, même à Toulouse qui n’est pas si pourrie que tu la présentes, surtout avec ce titre…“.
C’est pas faux (je répondrai). On photographie c’qu’on peut, et moi j’aime bien ces façades condamnées qui nous en racontent un peu sur l’histoire du lieu, un imaginaire ordinaire, un effet comique parfois.
C’est d’ailleurs ce qui a motivé ma première prise, cette ouverture murée et pourtant toujours le numéro de l’adresse postale au mur… Et au hasard de mes déambulations dans Toulouse, qui reste ma ville à force de l’arpenter depuis 85, même si je lui préfère aujourd’hui la campagne gersoise, j’ai le même réflexe quand je tombe sur une façade qui reproduit le même schéma. Et ça devient une série.
Et bon, je ne suis pas le premier à photographier ce genre de chose, si ?
Ξ As-tu remarqué sur Arte ces mini-documentaires La Chine au fil du Yangtsé ? On y suit un jeune photographe néerlandais en Chine, dans une sorte de river movie. On est entre le reportage social d’une Chine contemporaine mais avec toujours la référence à l’époque Mao, que je trouve assez ronflante, et d’un seul coup, ici ou là, des moments très forts.
Très inégal, mais pas inintéressants.
Ξ Pas encore vue, mais chaudement recommandée par Joël Arpaillange, l’exposition de Gilles Favier (agence Vu) en partenariat avec Images Singulières à la galerie Photon à côté de la Halle aux Grains.

Mais faut pas traîner, ça finit mardi prochain…
Ξ Le quiz du dernier capteur reste ouvert ! 😆
Je mets juste une autre photo.
Bien. Il faut reconnaître les “acteurs” du quiz du dernier capteur, dans leurs propres rôles lors d’un enregistrement en studio, et ici la photographe bientôt épouse d’un des protagonistes. Et pour aider un peu, il s’agit d’une trilogie qui dure plus de 7h au total.
Mais quel claque !!!

Salut Manu, je me lance sur une réponse approximative au quiz : stones in exile.
Hey hey! Bien essayé Sabine C. Mais bon ce ne sont pas les Stones, là. M’enfin…
Mais du coup, je vais le regarder tiens “Stones in Exile” de Stephen Kijak (2010).
Bon bon bon, alors si ce ne sont pas les Stones lors d’un enregistrement, le groupe en question est bien composé de 4 musiciens aussi (encore que sur l’album qui en est sorti, il y a un 5ème sur plusieurs morceaux). Et ça se passe en 1969.
Ça nous rajeunit pas, ma pauv’dame ! 😀
Mais les 3 épisodes ont été réalisés très dernièrement, et diffusés non pas au cinéma mais sur une chaîne privée. Du gros n’importe quoi, évidemment.
ayé !!!! the Beatles : get back
Moi aussi je vais essayé de voir celui des Stones.
Bisous Manu
Wow ! je suis impressionné Sabine, c’est bien “The Beatles: Get Back”. Bravo !!!
Je l’ai, et Stones in Exile aussi… En VOSTFR, si tu les veux, tu passes avec une clé de 8Go (ou plus).
Je veux bien, d’autant plus que je suis en convalescence, alors je peux bien regarder ce qui me plaît 😉