De la photo, que de la photo et rien que de la photo. Et le questionnaire encore, pas assez de réponses !
Il n’y a toujours pas d’IA dans ce capteur. 😀

Merci à celles et ceux qui ont pris quelques minutes pour compléter mon petit questionnaire. Vous êtes un peu moins d’un tiers des abonnés à l’infolettre, et pour tout dire, je l’ai même envoyé à celles et ceux qui ne suivent plus trop les capteurs.
Car après tout ça peut être intéressant de comprendre pourquoi (pour moi, évidemment).
Un tiers c’est bien, mais j’attendrai encore un peu pour fermer le questionnaire, ou alors ce sera la date limite du 31 mars. Mais si la moitié des abonné⋅es y participe, ça m’ira bien.
Je visionne de temps à autre les vidéos de Tatiana Hopper [En], et c’est souvent bien intéressant. Dernièrement, elle présentait le photographe Sergio Larraín, une découverte pour ce qui me concerne.
Photographe chilien du XXème siècle (1931-2012), il a d’abord étudié la musique puis travaillé la photo d’abord dans son pays avant d’étudier la foresterie aux États-Unis et ensuite partir pour l’Europe et le Moyen-Orient, puis revenir en Amérique du Sud. Un peu la bougeotte, non ?, le garçon…
Repéré par Magnum (H.C-B), il devient associé puis membre. Quelques années plus tard, il laisse tomber définitivement la photo et… passe à autre chose.

Parmi toutes les choses intéressantes que Tatiana Hopper dit sur lui, j’ai été particulièrement sensible sur le fait que pour Larraín, il était essentiel de respecter la dignité des sujets photographiés. Ça ne fait aucun doute pour moi.
À un parent qui souhaitait faire aussi de la photographie et lui demandait conseil, il répondit :
Ne force jamais les choses, suit ton propre goût et rien d’autre, tu es la vie et la vie est ce que tu choisis. Ce que tu n’aimes pas, ne le regarde pas, ce n’est pas bon. Tu es le seul critère, mais regarde quand même les autres.
Pour les toulousain⋅es, vous avec vu ? Photon expose deux artistes ukrainien⋅es.
Elena SUBACH raconte au travers de son objectif une histoire de famille et s’intéresse au fossé entre les générations.
Igor EFIMOV propose une sélection de 10 ans de photographies prises dans les rues, soulignant les connexions entre les lieux et les passants qui les traversent.
Toujours à Toulouse, au Château d’Eau jusqu’au 2 avril c’est l’exposition West de Francesco Jodice.
WEST raconte l’ascension et le déclin du modèle américain et de son image, sur une période comprise entre le début de la ruée vers l’or (1848) et la faillite de Lehman Brothers (2008).
Tout un programme, et sans doute plein de photos intéressantes à y voir.

Aaaah ! Larrain !
Temps de lecture annoncé… 7 minutes ?!? J’ai loupé un article ?
Pour les expo toulousaines, c’est noté, possible que j’ai à m’y rendre.
7 minutes de lecture, pourquoi pas ? 5 minutes ? 8 minutes ? Quelle différence, au fond…
Je ne sais pas comment le truc calcule ça, je doute que ce soit une IA (encore que, au vu du résultat…), et je ne sais même plus bien pourquoi je l’avais rajouté aux capteurs.
Peut-être à la demande de quelqu’un⋅e à m’ment donné, comme ce “Vous lisez le Capteur #214” sur la droite que je viens de mettre (ce qui m’a pris pas mal de temps sur le coup) et qui répond à une des suggestions du dernier questionnaire. 🙂
Sinon, oui je crois que le temps de lecture n’étant probablement jamais vraiment consulté et peut-être pas si pertinent (comme tu le fais remarquer chère Anonyme du XXIème siècle 😉 ), et, qui plus est, les capteurs étant tous plus ou moins de la même longueur, je vais virer ça illico presto.
Pour vivre heureux vivons assumés 😉
Merci beaucoup Manu pour le numéro qui s’affiche : J’ADORE !!!