Capteur #188

Des publications, une vidéo documentaire et puis aussi une idée peut-être pour qui a envie de concourir.

palme - cc by-sa manu'pintor - nov.12
palme – cc by-sa manu’pintor – nov.12

Seule la sobriété fonctionne en matière de photographie. Cet art est une ascèse austère, sans recherche de l’effet.

Bernard Plossu

Il n’est pas rare ici que je parle de Plossu. J’avais bien aimé la lecture de Far Out , entre autres, et je vois que ce 7 avril sortait son nouveau livre chez Poetry Wanted : 36 vues.

Couverture du livre de Bernard Plossu

Photographe “social”, si le cœur t’en dit , le Prix Caritas Photo Sociale est peut-être pour toi ?

Mais alors dépêche-toi, tu n’as que jusqu’au 17 avril pour déposer ton dossier de candidature. Le dossier de présentation en ligne. À noter que, je cite, les sujets traités doivent être en lien avec les problématiques sur lesquelles agissent les organisations du Réseau Caritas France :

  • le mal-logement,
  • les difficultés d’accès à l’emploi,
  • la prison,
  • l’inclusion sociale,
  • l’accès à un moyen de transport,
  • l’illettrisme,
  • les réfugiés et les migrants en France.

Merci Nathalie pour cette info passée sur Artistes d’Occitanie. 😉

En cherchant un peu plus d’informations sur le travail de la photographe Laurence Geai que je citais dans le dernier capteur, je suis tombé sur le tout récent documentaire de LCP Virus, le regard des photographes (52 minute).

Depuis le premier confinement de Mars 2020, les photojournalistes ont tenté de capter la puissance de l’invisible à travers leurs objectifs : photographier un virus, sa présence dans la ville à travers les rues désertées, sur les visages, dans les regards inquiets des gens, des soignants, ou à travers les corps de ceux qui en ont été victimes. Cinq d’entre eux nous racontent cette année étrange et suspendue, où le temps semble s’être arrêté, entre l’effervescence des hôpitaux et le silence assourdissant des villes confinées.

Pour le coup on reste bien dans le social, suivant cinq photographes de renom et avec souvent pas mal d’émotion : Eric Bouvet à la chambre grand format direct sur papier,  Antoine d’Agata avec un appareil photo thermique, Peter Turnley entre New-York et Paris, Laurence Geai dans les EHPAD, les hôpitaux et Corentin Fohlen sur les sans-abris.

À voir, absolument.

  En faisant un tour sur le site du collectif MYOP, également évoqué dans le dernier capteur, j’ai découvert l’existence de leur publication en ligne What’s Up qui en est au numéro 4 avec pour thématique “Famille(s)”, à parcourir en ligne et/ou à télécharger. 292 pages de photos et de textes des auteur⋅es, tou⋅te⋅s évidemment du collectif.

Denis, souvent assidu pour le quiz, a trouvé le titre du dernier film.

C’était bien Boulevard de la mort (2007) de Quentin Tarantino avec Kurt Russell, Zoë Bell, Rose McGowan…
Death Proof en VO.

Un bide commercial, mais un film bien dans la veine du genre qu’affectionne Tarantino, on passe de la romance au gore bien violent et sanglant, tout ça avec des musiques bien léchées, des acteurs hauts en couleur et des réparties bien senties. On aime ou on n’aime pas. C’est Tarantino !

Loading spinner

1 commentaire sur “Capteur #188

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Aller au contenu principal